Irene Wilder

- C'est mieux de se dresser et de se battre, si tu cours pour t'enfuir, tu mourras fatigué-

Identité

Once upon a time

L’histoire d’Irene démarre dans la haute société galloise, son père était un Lord britannique, siégeant à la Chambre des Lords, la famille Wilder était certainement l’une des familles les plus respectés de tout le Pays de Galles, et dans sa famille, Irene à toujours fait office de vilain petit canard, pourtant fille aînée, son père la réprouva, car il aurait préféré un fils pour perpétuer son héritage, il n’aura jamais rien confié à une femme, fut-ce t’elle sa propre fille ou même son épouse. Cependant, en l’absence de descendance masculine, elle reçut l’éducation nécessaire à toute jeune fille d’un tel rang social, une école privée huppé, ou elle se passionna d’ailleurs bien vite pour l’histoire, l’archéologie et les mythes antiques. Même si l’école n’était pas vraiment sa tasse de thé. Son tempérament rebelle la faisait souvent rentrer en conflit avec son père, dont elle ne supportait pas son désintérêt et son mépris vis-à-vis d’elle.

Mais en même temps elle n’était pas faite pour la subtilité de la haute société britannique, son aspect trop doux et hypocrite la rendait malade… Bien qu’elle en ait adopté, plutôt par automatisme que par réel envie, son ton noble d’aristocrate endimanché. Et puis elle était du genre bagarreuse, mais vraiment bagarreuse, elle n’hésitait pas à donner des coups de poings et de pieds, d’ailleurs même quand on ne lui avait rien fait, bien que c’était plus rare.

Sa famille s’agrandit d’un fils lorsqu’elle eut 8 ans, et son père cessa de lui apporter le minimum d’attention qu’il lui donnait jusqu’alors. Il ne pensait plus qu’à son fils nouveau-né et à sa descendance et son héritage enfin assuré. Ce fut le coup au moral de trop pour Irene, qui décida de ne plus écouter ses parents, elle entra en véritable rébellion contre osn père, dès qu’elle pouvait faire une bêtise pour l’énerver, elle n’y manquait pas, frapper une des godiches de son école ? Aucun souci… Faire sauter la plomberie des toilettes pour inonder les prochains arrivants ? Elle ne comptait plus les fois ou elle avait fait en plus accuser quelqu’un d’autre de son crime.

Mais la jeune fille se révéla telle qu’elle était à l’adolescence… C’est à dire incroyablement sadique quand elle le voulait, lorsqu’elle fit regretter à un pauvre malheureux de s’être un jour moqué d’elle, il s’agissait de ce genre de garçon qui paraissait trop bête pour aller à l’école mais qui s’était fait payer les études par sa famille si riche qu’elle pouvait payer l’école pour qu’il donne l’illusion d’avoir un cursus normal. Et il commit un jour l’erreur de se moquer d’Irene sur son physique, son tempérament bouillant et tout un tas d’autres trucs, si au début Irene ne voyait même pas l’intérêt de porter attention aux remarques d’un gamin qui ne savait toujours pas épeler correctement «Buanderie» à l’âge de 13 ans… Mais elle vit rouge lorsqu’il lui dit qu’elle n’était qu’une petite fille dont même son père ne voulait pas. Alors elle se vengea. Le garçon venait d’avoir un tout jeune chiot. Il était adorable et l’enfant avait insisté auprès de ses parents pour l’avoir…

Irene profita d’un moment d’inattention de la domestique qui était sortie le promener, bien sûr jamais il ne l’aurait promener lui-même, elle s’était légèrement assise sur le banc du parc ou ils le promenait, elle voulut se détendre les yeux quelques minutes… suffisant pour qu’Irene saisisse sa chance et sectionne le cou du chiot. Elle s’enfuit du parc sans se faire repérer, à peine choquée par le meurtre de petit chiot qu’elle venait de commettre… Et elle insista d’autant plus le lendemain quand l’enfant parla de l’assassinat de son chiot, avec des phrases aussi bien senties que « En fait il est mort en voyant ta tronche… » assénée ici ou là dans les couloirs de son école… Elle fut si cruelle avec lui qu’il s’effondra en larme lorsqu’elle lui dit que son chien avait préféré mourir que de continuer à vivre avec lui… Pourtant Irene ne ressentait aucun remord.   
rene avec le temps devint de plus en plus violente, elle aimait bien trop se battre, jusqu’à ses 18 ans ou elle décida qu’elle en avait assez et que sa maison n’était plus sa maison, elle partit pour poursuivre une carrière dans le combat de rue… Ses parents se fichaient bien de ce qu’elle pouvait devenir, surtout son père… Sa mère était trop discrète pour oser s’opposer à son avis. Sauf que la jeune Irene s’en sortait bien dans les combats, et les paris lui permettait de bien gagner sa vie, d’autant qu’elle n’était pas partie sans «emprunter» un peu d’argent dans le bureau de son père. Une dernière provocation avant son départ.

C’est lors de ses bagarres qu’elle fut abordée par des gens qui lui promettait encore plus de batailles… Ils étaient bien particulier, mais Irene était intriguée par la possibilité de futur combat. Ses hommes étaient les envoyés d’une très ancienne force, une force divine, les envoyés du dieu de la guerre Arès, qui s’étaient montrés impressionnés par la férocité dont faisait preuve Irene au combat. On lui parla alors du Cosmos, une énergie incroyable qui sommeillait dans le corps des gens. On lui promit des myriades de combat tous plus violent les uns que les autres, tandis qu’on lui faisait la démonstration du cosmos, lorsque l’émissaire fracassa un rocher de son poing. Loin d’être effrayée, si ce n’est pas le brusque agrandissement que représentait sa compréhension de l’univers jusqu’à présent, Irene était même plus qu’emballée…   Elle n’avait rien qui la rattachait à sa vie classique, et la promesse du combat l’enivrait d’avance, surtout si elle pouvait apprendre à manier cette source d’énergie.

Elle s’entraîna ensuite durant 3 ans, jusqu’à ses 21 ans, ou elle fut estimée prête et reçut sa propre armure de Berserker d’Arès, l’armure du Berserker de la Faux, du règne de la flamme.

Pouvoirs

Par le Tranchant de la Faux : Irene assène un coup de sa faux armé de son cosmos pour découper son ennemi

Par la Rage de la Faux : Irene intensifie son cosmos pour frapper le sol et provoquer une onde de choc déstabilisant l'ennemi.  

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